Les transports au Chili

Les transports au Chili, c’est avant tout le car…
Le train, comme dans quasiment toute l’Amérique du sud, n’existe quasiment plus (ou alors le train de banlieue).

Le car est ainsi utilisé pour de (très) longues distances.
On a ainsi utilisé le bus de nuit, de la Serena à Santiago. Beaucoup de bus partent ainsi dans toutes les directions du pays, on peut faire plus de 24 h de bus…

On n’en a fait que 8, dans un bus très confortable, en « salon cama » (1ère classe), avec des places très larges, de la place pour les jambes, et des sièges très inclinables (un confort équivalent dans un avion ou un train relève du luxe), ceci pour une trentaine d’euros par personne.

On a bien dormi, avec le ronronnement du moteur ! Mais une nuit très courte, arrivée à 6h du matin.

Les cars régionaux, comme on a pu en prendre dans la vallée d’Elqui, sont bien différents. Surchargés, le conducteur qui dépasse allégrement la vitesse autorisée et qui discute avec les passagers, une concurrence acharnée sur certains trajets… « Ovalle, Ovalle,… » :

 

Les transports urbains, ce sont les funiculaires (ascenseurs) à Valparaiso, utilisés par tous pour aller de la ville basse aux cerros, et qui font partie de la « carte postale » de la ville :

Le trolley bus de Valparaiso, conservé plutôt pour l’image de la ville. Admirez le monnayeur…

Les trolleybus en arrière-plan, et des « collectivos » au premier plan.

Les « collectivos », taxis collectifs, sont très utilisés au Chili. Ce sont des taxis avec un itinéraire fixe (mais qui s’arrêtent où l’on veut), et qui partent quand le taxi est plein… Ils servent ainsi de transports en commun, souvent à la place des bus, en plus conviviaux. On en a pris 1 de l’aéroport de la Serena. On s’est retrouvés à 6 passagers (plus la conductrice), et on s’est même fait déposer devant l’hostal, pour quelques euros (quelques centaines de pesos) !

Le métro (qu’on a utilisé à Valparaiso et Santiago). A Santiago, un moyen simple et pratique d’indiquer les arrêts desservis (à l’heure de pointe, quand il ne s’arrête pas forcément partout), avec 2 couleurs, rappelées sur les différents panneaux :

2 réflexions sur « Les transports au Chili »

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