Une énigme destinée aux élèves de CM2 (sauf Selma) de l’école Pyrénées.
Nous devions partir d’Auckland (Nouvelle-Zélande) le 18 janvier à 18h20, heure néo-zélandaise. Pour des problèmes de billets, nous avons dû décaler notre départ, et sommes finalement partis le 19 janvier à 18h20, heure néo-zélandaise.
Auckland, la plus grande ville de Nouvelle-Zélande (mais pas la capitale), située dans le nord de l’Ile du Nord.
Une ville très vallonnée, entourée de 50 volcans (éteints ou plutôt dormants).
Pas de charme particulier au premier abord dans les quartiers centraux. C’est avant tout une ville d’eau (« city of sails », cité des voiles); Elle est connue pour sa « sky tower », symbole de la ville, d’où est tiré le feu d’artifice du Nouvel An (première grande ville à changer d’année).
Une galerie d’arts très intéressante, mêlant art contemporain néo-zélandais, et œuvres plus anciennes.
Elle est située sur une bande de terre d’une dizaine de kilomètres de large, à l’ouest la mer de Tasman, à l’est l’océan Pacifique, avec le centre ville situé vers l’océan Pacifique.
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Une fois n’est pas coutume, nous allons parler de la voiture. C’est en effet le transport n°1 en Nouvelle-Zélande, les transports en commun étant peu développés (à part l’avion qui dessert tout le pays).
Nous avons loué une voiture sur l’Ile du Nord, pour pouvoir accéder à certains endroits non accessibles par d’autres moyens. Et nous avons pu ainsi profiter des paysages magnifiques et diversifiés : péninsule de Coromandel, côte pacifique et mer de Tasman, centre volcanique,… Nous avons eu de la chance d’avoir du beau temps quasiment tout le temps. Et les routes majeures (State Highways) sont très bien aménagées, même sur les routes sinueuses en petite montagne.
Mention spéciale à notre « road trip » de Taupo à Wellington, avec la traversée de la « desert road », désert de Rangipo, au cœur du parc national du Tongariro. De magnifiques montagnes enneigées (neiges éternelles) comme décor. Le jour où nous l’avons prise, la route était…fermée. Malheureusement à cause d’un camion renversé.
Nous avons aimé ce pays.
Difficile de rester insensible devant cette nature nous proposant des paysages variés, ses collines vallonnées habitées de moutons et de vaches, à perte de vue.
Ses côtes sauvages préservées de toute présence humaine.
Eh bien cela revient un peu au même ! En tout cas il y a des similitudes.
Dès l’Australie, Irène a eu un coup de cœur pour le « peanut butter », beurre de cacahuètes en pâte à tartiner, spécialité anglo-saxonne qu’elle retrouve avec plaisir en Nouvelle Zélande, sinon nous avons bien tenté le « vegemite » mais là, nos papilles n’ont pas apprécié !
Le 10 janvier, nous décidons de faire une surprises aux filles, départ pour une journée en mer dans la baie d’Akaroa, péninsule de Banks, au sud-est de Christchurch.
La ville d’Akaroa a été un temps colonie française, et a en a conservé une certaine mémoire.
Très jolie baie…
Christchurch est située à l’est de l’Ile du Sud, c’est la 3ème ville du pays.
Elle a subi des tremblements de terre en 2010-2011, celui du 22 février 2011 ayant été particulièrement dévastateur, détruisant ou endommageant fortement une grande partie de la ville.
Sa cathédrale, emblème de la ville, a été grandement endommagée (clocher effondré, toit en grande partie détruit).
De nombreux bâtiments sont encore soutenus par de grandes poutres métalliques.
La première impression est celle d’une ville-fantôme, avec des très peu de voitures ou de gens dans les rues.
La ville est en pleine reconstruction (Re:Start). La nouveauté prend petit à petit le dessus, des artistes ont investi la ville, y créant peintures murales et sculptures.
(poutres métalliques soutenant un bâtiment)
Nous quittons Wellington pour l’île du sud, une traversée de 3h de ferry nous y conduit.
La dernière heure permet de découvrir, au travers des nuages, les « sounds » néo-zélandais, le Queen Charlotte, bras de mer au sein des paysages escarpés d’origine volcanique.
La capitale de la Nouvelle-Zélande.
Elle ressemble au premier abord plutôt à une petite ville bordant la mer.
Sur la route qui nous mène à Taupo, dans le centre de l’Ile du Nord, pause détente, petite marche pour se dégourdir les jambes… On tombe juste sur ce magnifique bassin géothermal (source chaude) d’un bleu intense.
Puis arrivée sur Taupo (où l’on a passé Noël). Continuer la lecture
