On a un peu laissé de côté notre blog depuis le début du Chili.
On reprend au début, à Valparaiso.
Valparaiso est située sur la côte (pacifique), à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Santiago. Ce fut longtemps une ville florissante, passage obligé des bateaux naviguant par le cap Horn. L’ouverture du canal de Panama en 1914 engendra un appauvrissement de la ville. Son inscription au patrimoine mondial de l’Unesco en 2003 a favorisé le développement du tourisme depuis, et apporte une certaine renaissance à la ville.
Elle se compose de maisons colorées, accrochées à ses collines (« cerros »), où l’on peut flâner. La ville est souvent brumeuse, comme toute la côte chilienne, en tout cas dans cette région.
On peut aussi utiliser ses funiculaires (appelés ici ascenseurs), bien utiles, et pas seulement aux touristes :
Certains quartiers sont déconseillés par les habitants, du fait de l’insécurité (ou du sentiment d’insécurité ?) qui y règne. Lorsqu’on s’approchait d’un quartier près du port, on nous interpellait en nous disant de faire attention ! On n’a pas senti spécialement d’insécurité (pas plus qu’à Paris…).
Le port (peu actif maintenant) ;
La ville est réputée pour ses « murales », fresques murales (graffitis), qui font partie de son charme :
(Salvador Allende représenté au milieu)
Son marché, El Cardonal :
D’une des maisons de Pablo Neruda, dominant la ville et son port :
Une escapade à Vina del Mar (prononcer « Vigna », avec un tilda sur le n dans l’écriture espagnole), une ville balnéaire jouxtant Valparaiso.
La mer est belle, mais froide et agitée. On ne s’y est pas baigné…
On en profite pour visiter le musée de peinture de Vina, avec des ateliers très bien faits pour les enfants. Irène et Selma se prennent pour Géricault (on a ensuite joué aux modèles du radeau improvisé pour l’atelier) :
A Valparaiso, Selma ouvre sa première boutique (comme beaucoup de vendeurs de rue à Valparaiso, et au Chili), et ça marche…
Irène préfère conduire un train :
Notre « hostal »… C’est à gauche sur l’escalier. Pas de problème d’électricité pendant notre séjour…
Les maisons, comme notre hostal, sont souvent construites à flanc de colline, avec des formes alambiquées, et sur de nombreux étages, qu’on ne peut deviner en voyant la façade.
La salle commune :
Et une dernière photo pour terminer l’article…
Bien de belles images colorees encore et de depaysement !! Et les filles toujours belles et joyeuses.. nous pensons bien à vous…. bonne continuation. Ici c est la grisaille dans tous les sens du terme !!!!
Vous vous adaptés apparemment aux changements d horaires, de climat et de langue et continuez de faire plein de découvertes……
Ce matin au marché de Belleville un parfum d’été avec des cerises en provenance du Chili
On pense bien à vous
Ah Valparaiso j’ai adoré toutes les fresques murales… et aussi tous les funiculaires ou plutôt « ascensor »… on les a tous essayé et à chaque fois on tombait sur des tas de petites maisons colorés et ruelles hyper sympas…
on a bien aimé aussi le marché aux poissons tôt le matin sur les quais mais faut prendre le métro ou tram (je sais plus comme ils l’appellent) c’est pas loin (deux, 3 stations) et les filles pourront apprécier tous les oiseaux qui virevoltent au dessus dont bcp de pélicans et aussi les lions de mer (y’en a bcp) et on les voit de très près !! c’est très sympa à faire mais y’a rien d’autres dans le quartier du marché aux poissons…
ah oui vous aussi vous avez remarqué les câbles électriques ;))))
c’est bizarre de voir vos photos car pour certaines, j’ai pris les mêmes ;))
besos
K.
Coucou les amis,
Alors Selma, ça marche le commerce d’origamis? Tu m’en réserves un?
Irène, tu sais qu’Elvis serait content de le conduire avec toi ce train!
Votre visite du Chili donne envie… Valparaiso, ses couleurs, ses immeubles, son histoire… Et comment se passent vos relations avec les gens? Facile de faire connaissance? Bon, vous allez dire que je suis obsédée par la bouffe mais vous mangez quoi de bon?
plein de bises et profitez…
Virginie et cie