Nous arrivons en soirée à l’aéroport de Lima. Nous choisissons l’hôtel le plus proche, un 4 étoiles, fort agréable, afin de reprendre un vol le lendemain pour Cuzco.
En effet, Lima est à éviter en ce moment étant donné les fortes inondations.
De là nous prenons un taxi pour Pisac (ou Pisaq), à 2972 m d’altitude (moins que Cuzco, à 3400 m…), un joli village de la vallée sacrée. On se pose tranquillement, afin de s’habituer à l’altitude.
On est tout de suite immergé dans le Pérou rural, avec les descendants des incas.
L’endroit est très dépaysant, nous y restons quelques jours, profitons de son marché très coloré, visitons les alentours, des petits villages, un sanctuaire récupérant des animaux blessés afin de les soigner et les réintégrer dans leur milieu d’origine.
Le marché de Pisac, le plus renommé de la région.
Ici, les pigments naturels :
Les tuk-tuk, appelés ici mototaxis.
On voyage en « collectivo » (van servant de taxi collectif). Et pour aller au sanctuaire des animaux, on a de la chance de tomber sur un bus d’un tour organisé, qui nous prend à l’avant, et gratuitement ! (on s’était un peu trompés de chemin…).
Un alpaca :
Un condor :
Nous apprécions l’auberge dans laquelle nous séjournons quelques jours, au bord de la rivière, au milieu des montagnes.
Petits déjeuners dans le jardin, Irène s’initie à la guitare, bouillottes pour chauffer nos nuits, que de découvertes …
Beaucoup de colibris (avec des couleurs très variées), difficiles à prendre en photo tellement ils battent vite des ailes lorsqu’ils butinent les fleurs :
Mais le courage nous manque pour découvrir un site archéologique. Avec l’altitude, nous nous essoufflons assez facilement… Il nous faudra quand même quelques jours pour nous adapter à l’altitude. Mais nous n’avons pas été malades (pas de « soroche »)
Génial! Tu dois te régaler Véro avec toutes ces couleurs…
Oh la la, tous ces pays vont certainement beaucoup t’inspirer pour le futur!
Nous pensons bien à vous et je me régale de voir vos photos! Merci
le marché de Pisac est magnifique hein !!
et puis on peut manger sur les balcons juste au dessus et profiter de l’ambiance du marché…
K.
Ah mordicaus. J’ignorais les vertus anti cancérigène, en revanche c’est vraiment la plante qui aide le plus à supporter les dénivelés.
Effectivement nous avons dù l’acheter au chili.
Renseignez vous, sait-on jamais.
Laurence avait carrément fait des stages d’oxygéné à l’hosto, et cette plante a réglé le problème.
Bon, éclatez vous quoi qu’il en soit.
C’est toujours un dépaysement radical quand je regarde vos photos du fin fond de mon bureau parisien ! ça fait du bien. On voit que les filles ont grandi énormément, Irène c’est vraiment hallucinant ce qu’elle a poussé 🙂
Besos
Carine
C’est un vrai bonheur de découvrir ces photos magnifiques de toi, ma Véro, et de tes deux petites nénettes aussi jolies qu’épanouies.
Vous êtes si beau tous les 4…et de plus en plus.
Alors pour les petites désencombres de l’altitude, bien évidemment la coka mais le must c’est de l’associer à la Chachacoma.
Vraiment, ça élimine le problème.
Profitez, prenez plus de temps qu’il n’en faut, ne nous revenez pas…trop vite…et écrivez, poster, photographier, faites nous partager…
Warm kisses
Je ne connaissais pas, mais je viens de lire que la Chacacoma avait aussi des vertus anti cancérigènes. Mais on la trouve plutôt au Chili a priori.
Frédéric